La vie d’homme ou de femme est un fouillis.
On en rit parfois, mais tout n’est pas appris.
La chance fait souvent fi des acquis
Et le mets de fratrie n’est plus aussi exquis.
Que de querelles étouffent l’harmonie
Entre les couples, les frères et les amis !
A défaut d’avis m»ris, les paris sont émis
Et tant pis pour la famille jadis unie.
Les bras cassés, source de paralysie
Des sempiternels dormeurs* assis,
Espèrent être munis d’un esprit rassis
Pour retrouver l’envie de la fratrie.
L’espoir peut-il renaître ainsi
D un grain providentiel de génie ?
Oui. Quand on veut, on peut, Dieu merci.
Un mot doux suffit pour éviter la scie.
Moussa Ettalibi, Dr Sci., Rabat le 13-07-2011
*dormeur-assis = chômeur
Moussa Ettalibi, Dr Sci.
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