Au comble de sa haine sempiternelle,
La marâtre, pire qu une mule rebelle,
Casse sa gargoulette dans la ruelle,
La stérilité la rendant trop cruelle.
Madame la carogne aux griffes mortelles
Semble se plaire dans la boue criminelle.
Dépourvue de tendresse maternelle,
Elle coupe court aux passerelles.
Autant sa carapace spirituelle
Sonne faux puisque superficielle ;
Autant sa raison toute artificielle
Dégage une rancœur pestilentielle.
En s’écartant des valeurs mémorielles,
La sale vipère, aux morsures factuelles,
Remue, matin et soir, ses ruses personnelles
Pour s’emparer des rentes perpétuelles.
Ayant la caboche dure et conflictuelle,
La langue combinant pelle et truelle,
La marâtre ne recule pas d’une semelle
Par simple obstination intentionnelle.
funeste marâtre inconditionnelle !
Ton drôle de pavé dans la cervelle
Te sauvera-t-il de la géhenne continuelle ?
Songe au jour sans eau, sans caravelle !
Moussa Ettalibi, Dr Sci., Rabat le 10-04-2011
M. ETTALIBI, Dr Sci.
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