Mon Aphrodite

En face de la mer je t ai vu sourire
Une fraiche brise a touché mon cœur
Tes cheveux aussi lisses que la soie
Qui jouent une belle harmonie avec le vent
M emportent dans leur couleur d’ébène a une foret de fantaisie

Tes yeux quoi dire d’eux ? Un vaste étendu
Une palmeraie en plein désert, un jardin au mois de mars
Tes yeux sont deus Emeraudes chers et verts
Je pourrais rester des jours juste a les voir

Ta voix une mélodie qu enchante mon esprit
Un colibri harmonieux et une symphonie
Les mots se dépêchent a sortir de ta bouche
Aussi rouge que le sang et aussi douce que la pêche

Je t ai vu lire ton journal comme d’habitude en face de la mer
Mais l’audace m a trompé car tu n’es pas comme les autres
Tu es celle que j ai aimée celle que je respecte
La femme de mes rêves la mère de mes enfants

Mon Aphrodite