Sur le bord du lac

Cette histoire, bien que j essaie de ne plus parler, ni raconter ma vie ; hélas !… Avec votre permission mes chers lecteurs, oui je tiens beaucoup a dire ce que mon cœur a dire :

Ma reconnaissance va aux :
Avant tout le monde a mes parents, père Dézzazi (mon oncle), qui m a bien appris que le cheval c’est l’ami de l’homme et il y avait raison, c’est trois personnes me manquent beaucoup.

Et je suis fier de mon cousin A. D. Qui est a la banque du Maroc a El-Jadida.Que Dieu le protége, en tout cas je suis toujours la.
Oh ! Je ne peux oublier ces personnes qui avaient confiance en moi :
Pères (Boukili-Lebbat-Cherkaoui-Chergui) Au fond de mon âme ces personnes me manquent vraiment beaucoup, c’étaient mes idoles.

La preuve je suis la, avec mes problèmes, ma misère, mais l’honneur avec fidélité et leur principe sont la.

Nous remarquons rarement que nous vivons au milieu de l’extraordinaire, les miracles se produisent tout autour de nous, les signes de Dieu nous montrent le chemin, les anges essaient de se faire entendre… Mais comme nous avons appris qu il existe des formules et des règles pour se faire sa vie honnêtement, dans l’amour et le respect.

Oh ! Nous n’y accordons aucune attention, or la soif de l’argent, de trahison de corruption de mensonge, et pire… Sont la et on les laissent entrer dans nos esprits, pire dans nos cœurs.

Pardonnez-moi mes chers lecteurs, je crois que je suis démodé ou je n’ai pas assez souffert dans ma chienne de vie… Erreur

Une fois que j ai lu cette fameuse histoire, ou mémoire de phare écrite par mon vieil ami Lekhiar Mustapha. J arrive pas a … Et alors Fine lkouloube Taïba, j ai préparer mon sac avec tout dont j ai besoin ; la y a que mes beaux frères Semaïl et Si Med qui me comprennent.

Laissant la voiture a pieds vers le lac Neuchâtel (Suisse), je me suis assis et j ai pleuré avant tout c’est le coin préférer de ma chère al marhouma Oumy.

Ensuite l’article qui m a vraiment rajeuni de 41 années. Devant Dieu j ai vu défilé ces belles images de mon passé plein, que des bons souvenirs, d’amitiés, de respects et d’entente, merci Stoffe, tu es toujours le bien venu tu connais le chemin.

Et pourtant la légende raconte, que tout ce qui tombe dans les eaux de ce lac ; les feuilles, les insectes, les plumes des oiseaux tout se transforme en pierre de son lit.

Ah ! Je ne suis plus ce grand nageur d’avant qui a souvent sauvé des vies ; vieux, le dos m a trahit, et alors me voila dans la flotte, bizarre vous êtes entrain de lire mon article.

c’est vrais a la mort de ma Mère, mon ami, ma confidente, j ai envie d’arracher mon cœur de ma poitrine et le jeter dans ce courent… Il aurait alors plus de douleur, de solitude, plus de souvenirs.

Sur une musique relaxe de Ravi Shankar, avec la chaleur du 07.07.07 a fait que je n’ai pas senti des larmes sur mon visage ; elles se sont mêlées aux eaux de ce lac, qui coulent devant moi.

Quelque part ce lac en rejoint un autre, puis un autre, comme Omy Râabye, qui va a la mer.

Jusqu au moment ou bien loin de mes yeux et de mon cœur, oui toutes ces eaux se confondent avec la mer (yake al bhoure chhale ma…).

Que mes larmes coulent ainsi très loin ; afin que mon cœur ne sache jamais qu un jour j ai risqué de le jeté dans la flotte.

Et alors j oublierai ce lac, la brume, les chemins que j ai parcourus.
J oublierai les routes, les montagnes et les champs de mes rêves, ces rêves qui étaient les miens et que je ne reconnaissais pas.

OUI et oui je tiens a la vie, j adore mes enfants, j aime rire ; le passé est derrière moi ; comme je sais que le chemin que je vais prendre est long est alors… Les obstacles sont mes domaines, deux choses : éviter ou de les sauter, mais jamais reculer ni abandonner.

Et la sagesse a été justifiée par tous nos enfants.

Ce bon discours qui est une vie vécu est dédié a tous les jeunes Jdidis ma ville natale, ma patrie le MAROC que je chérie…

J essaie seulement de vivre, se souvenir est l’apanage des plus vieux.
Peut-être la nostalgie, l’amour me font vieillir avant l’heure et devenir jeunes quand la jeunesse s’en est allée.

Blouf !… Ce n’est pas pour cette raison que j écris, pour transformer la tristesse en nostalgie, le solitude en souvenirs, oh ! Non…

Simplement pour ne pas commettre les même erreurs que moi ; vous les jeunes Jdidis et de ma chère patrie le Maroc.

Je connais mes racines et devant Dieu, y a que mon Maroc dont je reste fidèle, (26ans) avec la Suisse. (31ans). Sans commentaires…

Ba-Ayouch – 04h06mn du 08.07.07

Auteur/autrice